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Takashi Murakami
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Depuis la triple catastrophe du Tohoku, Tamon est devenu un chien errant et il voyage inlassablement vers le Sud... Sur sa route, il rencontre de nombreux laissés-pour-compte de la société : un père de famille poussé au crime, un immigré, une prostituée et un vieillard aux portes de la mort. Mais ce chien ne juge jamais les humains et il pourrait même soigner le coeur de ces âmes meurtries par la vie... Pourtant, malgré les liens qu'il crée au fil de ses rencontres, il ne semble jamais vouloir s'arrêter. Toujours, il avance vers le Sud. Quelle est sa véritable motivation ?
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Dans une carcasse de voiture, le corps sans vie d'un homme, décédé depuis plus d'un an, est retrouvé avec celui d'un chien à ses côtés, mort depuis trois mois à peine. Okutsu, un assistant social investi, décide de reconstituer la vie de ces deux compagnons jusqu'à leurs derniers instants, sans se douter que leur périple aura bouleversé les destinées de nombreux êtres, aussi bien humains que canins... Retrouvez cet émouvant récit de Takashi Murakami dans une édition intégrale enrichie, avec une couverture et un épilogue inédits.
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Pino est le nom générique du robot humanoïde produit en masse, équipé de l'I.A. « pino », la première intelligence artificielle au monde à atteindre la singularité technologique. Pino est donc le pionnier des robots réellement pensants, autonomes et dotés d'une intelligence qui dépasse très largement le niveau des êtres humains. Hana travaille dans une entreprise pharmaceutique. Elle collabore à distance avec un Pino qui oeuvre dans un laboratoire situé à des centaines de kilomètres. Le petit robot est en charge du bon traitement des animaux utilisés pour tester les nouveaux médicaments de la firme. Seulement, le jour où il apprend que son laboratoire doit être fermé, un changement drastique va s'opérer chez Pino...
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Après le remarqué
Chien Gardien d'Étoiles, laissez-vous attendrir par
L'Oiseau bleu, le nouveau recueil de Takashi Murakami !
Yuki Higashimoto est la plus heureuse des femmes : un mari aimant, Naoki, et un adorable garçon de 5 ans, Shu, la comblent de bonheur. Mais la sortie de route de la voiture qui les ramène d'un innocent pique-nique va sonner de manière cruelle et irrémédiable la fin de cette existence paisible...
Le petit Shu ne survit pas à la violence du choc, et Naoki est plongé dans un coma végétatif. Pour
Yuki, un long combat commence : comment reconstruire sa vie et préserver un lien avec un mari qui est présent sans l'être ?
Dans ce manga post 11 mars 2011, l'auteur du remarqué
Chien gardien d'étoiles évoque la difficulté de surmonter la perte d'un être cher. Famille, enfance, vieillesse, oubli, la plume poétique de Takashi Murakami parcourt délicatement le cycle de la vie et fait mouche en nous transmettant
un formidable message d'espoir. -
Le chien gardien d'etoiles - vol01 - enfances
Takashi Murakami
- Sarbacane
- Bd
- 1 Mai 2011
- 9782848654584
L'histoire commence par la découverte des corps sans vie d'un homme et de son chien, dans une carcasse de voiture. Fait étrange, la mort de l'homme remonte à plus d'un an, celle du chien à trois mois à peine.
Flashback... Un petit employé japonais au chômage offre un chiot à sa fille. Bientôt sa femme divorce. L'homme, qui n'a plus rien, part sur les routes, accompagné dans ce qui sera son dernier voyage par son seul et unique ami, le chien.
Un jeune assistant social, chargé de disposer des corps découverts, décide de retracer la vie de ces deux êtres, jusqu'à leur déchéance finale. Il se remémore du même coup sa propre histoire avec le chien de son enfance.
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Dans son nouvel ouvrage, l'artiste japonais Takashi Murakami reprend son travail sur le cercle enso, motif fondamental de la calligraphie japonaise, symbolisant le vide, l'unité et l'infini dans le bouddhisme zen. Le livre présente ainsi à la fois ses nouvelles peintures - dont certaines n'étaient qu'au stade de l'étude dans l'opus précédent -, dans lesquelles l'artiste utilise ses motifs récurrents (fleurs et têtes de mort, représentation de lui-même...), ainsi que de nouvelles images documentaires : nouvelles études, réalisation des tableaux dans son studio...
Les peintures enso résultent d'une démarche calme, spirituelle. L'enso est le prérequis de tout acte artistique, un moment où l'esprit laisse au corps la liberté de création. Traditionnellement tracé au pinceau en un seul geste, à la fois spontané et maîtrisé, le cercle de l'enso ne permet aucun retour en arrière.
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La nouvelle série de peintures de Takashi Murakami se fonde sur l'un des motifs les plus importants de la calligraphie japonaise, le cerle enso, qui symbolise le vide, l'unité et l'infini dans le bouddhisme Zen. Le minimalisme de la plupart de ces nouvelles peintures pourrait surprendre un public qui identifie l'oeuvre de Murakami au simple corpus des fleurs colorées et des monstres (séduisants). Pourtant, l'artiste peint depuis des années les grandes figures du bouddhisme zen : Daruma, connu comme le fondateur de l'école Zen ; le bras coupé du moine Eka, successeur de Daruma. Plus récemment encore, dans The 500 Arhats, une peinture de 100 mètres de long, Murakami représente les 500 sages ayant atteint l'illumination par la contemplation des éléments déchaînés. Ce tableau, qui marque un tournant radical de son travail, a été peint suite au tremblement de terre de 2011 au Japon.
Les peintures enso résultent d'une démarche calme, spirituelle. L'enso est le prérequis de tout acte artistique, un moment où l'esprit laisse au corps la liberté de création. Traditionnellement tracé au pinceau en un seul geste, à la fois spontané et maîtrisé, le cerlce de l' enso ne permet aucun retour en arrière. L'enso de Murakami est unique, formé à la peinture en bombe, par dessus ses accumulations emblématiques de fleurs ou de crânes.
Ainsi tracé, le motif devient un hommage aux traditions japonaises et un retour à une pratique minimale, fruit d'une démarche à la fois artistique et spirituelle. Cet ouvrage livre à la fois les reproductions de cette nouvelle série ainsi que des images de la réalisation de ces oeuvres.
Takashi Murakami, né en 1962 à Tokyo, est un artiste plasticien japonais.
Après ses études au lycée, il rêve de devenir animateur de dessins animés et s'inscrit à l'Université des Arts de Tokyo, où il suit le cursus Peinture, spécialité nihonga. En 1995, il fonde le studio de production Hiropon Factory et commence à exposer en Europe et aux États-Unis. En 2001, Hiropon Factory devient Kaikai Kiki Corporation, structure qui lui permet de soutenir le travail de plusieurs jeunes artistes, mais aussi de produire et commercialiser des produits dérivés.
Considéré comme l'un des chefs de file du néo-pop japonais dit Superflat, il revendique l'héritage de Warhol et du pop art américain, tout en analysant la manière dont l'art japonais peut trouver une autonomie face au modèle occidental.
Ses sculptures monumentales, peintures, papiers peints, et autres objets puisent directement dans l'imagerie manga japonaise, qui est détournée et amplifiée sur des thèmes d'où émergent des questionnements à première vue absents de l'aura kitsch et kawaii des bandes dessinées japonaises.
En septembre 2010, il expose ses oeuvres dans le château de Versailles.